Hugues Salel, “Puis qu’il convient, pour gaigner le pardon”, 1537
“Aultre [huyctain].”
Texte
Puis qu’il convient, pour gaigner le pardon,
De tous pechez faire confession
Et pour fouyr d’enfer l’ardant brandon
Avoir au coeur ferme contrition,
Je te supply : fais satisfaction
Du povre coeur que, long temps a, me tiens ;
Ou si le veulx en ta possession,
Confesse doncq mes pechez, et les tiens.
Source : Eglogue marine, 1537.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Léa Canal (23 avril 2022). Hugues Salel, “Puis qu’il convient, pour gaigner le pardon”, 1537. Fleur des Tanneurs. Consulté le 6 octobre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/ophz
