François Habert, “Celluy qui du Laurier pernassien fut digne”, 1558
“L’épitaphe de Monseigneur Bouchetel par la Muse Calliope.”
Texte
Celluy qui du Laurier pernassien fut digne,
Et qui avoit l’amour de moy et de mes Seurs,
Ce noble Bouchetel, le Mecenas insigne
De tous ceux qui aymoient poetiques douceurs,
La memoire de soy delaisse aux successeurs,
Avecques son corps mis en ceste sepulture,
Mais, O vous viateurs ! soyez certains et seurs
Que son renon n’est pas subject à pourriture.
Source : Les divins oracles de Zoroastre, 1558.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Marion Blusseau (4 avril 2024). François Habert, “Celluy qui du Laurier pernassien fut digne”, 1558. Fleur des Tanneurs. Consulté le 25 janvier 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/w5wu
