Clément Marot, “L’amour, la mort et la vie”, 1542
« Aultre huictain. »
L’amour, la mort et la vie
Me tourmentent à toute heure,
De me laisser ont envie
Et veullent que je y demeure.
Quand je veulx rire, je pleure
Du feu d’amour qui s’avive,
La vie veult que je meure
Et la mort veult que je vive.
Source : La Fleur de poesie francoyse, 1542.
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Claire Sicard (4 avril 2024). Clément Marot, “L’amour, la mort et la vie”, 1542. Fleur des Tanneurs. Consulté le 7 octobre 2024 à l’adresse https://doi.org/10.58079/w5x3
