Dernière mise à jour : 4 janvier 2025
On trouvera ici une liste des épigrammes recueillies dans la Fleur des Tanneurs, organisée par ordre alphabétique d’incipit. Attention, les dates et les titres de recueils ne correspondent pas forcément à ceux de la plus ancienne attestation ou de la version de référence du texte, mais simplement à la source de la copie reproduite dans notre anthologie. Les auteurs indiqués sont ceux des poèmes considérés, mais pas toujours de l’intégralité du recueil où le texte a été copié.
A ⊥ B ⊥ C ⊥ D ⊥ E ⊥ F ⊥ G ⊥ H ⊥ I ⊥ J ⊥ L ⊥ M ⊥ N ⊥ O ⊥ P ⊥ Q ⊥ R ⊥ S ⊥ T ⊥ U ⊥ V
A
- Accourez tous, poëtiques espritz (Claude Colet, dans Gille D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Adonne toy aux actes vertueux (François Habert, Les quatre livres de Caton pour la doctrine des mœurs, 1548)
- Advint un jour qu’une vieille effacée (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- À Hercules errant par la contrée (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Aiant un petit cors vestu (Pierre de Ronsard, Le Bocage, 1554)
- Amour, amy de tous, peste des siens (Claude Chappuys, Les Fleurs de Poesie Françoyse, 1536 texte corrigé d’après l’éd. princeps, 1534)
- Amour n’est rien que bonne volunté (Charles de Sainte-Marhe, La Poesie Françoise, 1540)
- Amours avoit d’une fleche amoureuse (Michel D’Amboise, Le Secret d’amours, 1542)
- Amour souffla contre moy tellement (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Anne (par jeu) me jecta de la Neige (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
- Après longs traits des traitez precedens (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- Arreste toy, viateur, et contemple (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- À son voisin, quelqu’un se complaignoit (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- À ta grand’ Muse industrieuse (Charles Fontaine, Odes, enigmes et epigrammes, 1557)
- Au curé, ainsi comme il dit (Clément Marot, Traductions de latin en francoys, éd. posthume, 1550)
- Au feu, au feu, venéz moy secourir (Anonyme, La Fleur de poesie françoyse, 1542)
- Au mois de Juin Nature composa (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Au temps passé, par coustume on souloit (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Au temps passé, Romains victorieux (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Au temps present, Amour en deux sortes se prend (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Autour de la machine ronde (Bonaventure Des Périers, Recueil des œuvres, 1544)
- Ayant cest heur de voir à mon plaisir (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
B
- Bastard de nom, mais enfant legitime (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Beauté cruelle, et doulceur inhumaine (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- Benest, quand ne te congnoissoye (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Bienheureux est, qui se paist de par luy (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Bien que la mesnagere mouche (Charles Fontaine, Odes, enigmes et epigrammes, 1557)
- Bouche de Coral precieux (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
- Bouche de Satin cramoizi (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- – “Bren ! laissez-moy”, ce disoit une (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
C
- Ce beau pourtraict faict en Lacedemone (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Cecy en ton mesnage est laid (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Ce doulx plaisir de celle qui me baise (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Ce franc Baiser, ce Baiser amyable (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
- Ce grand Henry second-unique (Charles Fontaine, Odes, enigmes et epigrammes, 1557)
- Ce grand Precesseur Cardinal (Charles Fontaine, Odes, enigmes et epigrammes, 1557)
- Ce leger enfant Amour (Jean Doublet, Elegies, 1559)
- Celluy qui du Laurier pernassien fut digne (François Habert, Les divins oracles de Zoroastre, 1558)
- Celuy faict sagement, qui fuyt (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Ce m’est un mal que je n’eusse pensé (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- Ce mot de pet, cousin germain de vesse (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Ce petit Dieu, cest enfant qui se nomme (Etienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Ce Prince humain, ce Duc de Vendosmois (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Certes la Mer, quand elle se desrive (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Ces deux François, en leur jeunesse forte (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Ces jours ainsi que ta face advisoye (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542
- Ces jours, disoit ung amoureux (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Ceste beaulté, qui en vous apparoist (François Habert, La jeunesse du Banny de lyesse, 1541)
- Ceste Déesse avec sa ronde Pomme (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
- Ceste doulceur de gracieux langage (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Ceste fleur blanche en ce rameau florie (Claude Colet, L’Oraison de Mars, 1548)
- C’est grand plaisir quand le Creancier preste (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- C’est grant pitié de m’Amye qui a (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. Poitiers, 1547)
- C’est un bon cas que le don de Beaulté (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1550)
- Changez propos, madame, ou aultrement (François Habert, La jeunesse du Banny de lyesse, 1541)
- Chascun maintient, qu’entre chose mortelle (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Cil qui mieux ayme par pitié (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Cinq choses sont plus dangereuses (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Comme au matin la reluisante Aurore (François Habert, La Harangue de la déesse Astrée, 1556)
- Comment, mon cueur, es tu donc dispensé (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Contente toy, amy, d’ung seul baiser (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Cy gist qui fust de Maintenon la Dame (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. Poitiers, 1547)
D
- De Ciceron, et de Demosthenes (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- De deux Amans, Amour me picque et poinct (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- De deviner, Cassandra eut le pris (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- De l’amytié que ton Habert te porte (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- De ma brebis ecorchée (Pierre de Ronsard, Le Bocage, 1554)
- De mon las cueur j’ay donné le povoir (Anonyme, La Fleur de poesie françoyse, 1542)
- Dès que tu viens là où je suis (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Diane fut jadis une Deesse (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Dinocrates, subtil architecteur (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- Donne qui peult, je ne puis rien donner (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- Double argument devant moy se presente (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Douze choses te fault sçavoir (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- D’ung seul baiser content point je ne suis (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- D’un mendien tu ne verras qu’à peine (Pierre Cousteau, Le Pegme, 1555)
- Du premier coup en amours on n’a pas (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
E
- Ecoute, anfançon de Silene (Pierre de Ronsard, Le Bocage, 1554)
- Efforcez vous doresnavant, ma Muse (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- En escrivant voz immortalitez (Bonaventure Des Périers, Recueil des œuvres, 1544)
- En la forest, je chasse avec cinq chiens (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- En quelque lieu que la prudence soit (François Habert, La Harangue de la déesse Astrée, 1556)
- Entour ce feu, figure de ma peine (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- Entre les lèvres de Catin (Jean Doublet, Elegies, 1559)
- Estre inutile affermer oses tu (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
F
- Fidele ami souvent on peut trouver (François Habert, La Harangue de la déesse Astrée, 1556)
- Fille de Roy, de Roy unique seur (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Filz de Venus, mais que tu es leger ! (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Fol est celluy qui en femme du monde (Jean Chaperon, Le Dieu gard de Marot [et autres œuvres de Jean Chaperon], 1537)
- Fontaine, ta coulant Fontaine (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Foy sans Amour ne peut estre Foy vive (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- François est Roy si Royal et si franc (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- Frere Martin au retour de matines (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Fut il jamais Homme qui eust le don (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
G
- Grace nayfve, ouvrage de nature (François Habert, Le Premier livre des sermons du sententieux Poëte Horace, 1549)
- Grande beauté, grande grace, et richesse (Charles Fontaine, Odes, enigmes et epigrammes, 1557)
H
- Humains tresors, richesses amassées (François Habert, Les quatre livres de Caton pour la doctrine des mœurs, 1548)
I
- Il n’est pas dict que tousjours faille escripre (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
J
- Jasoit, Amour, que le plus malheureux (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- J’ay bien deux ou trois cens amis (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- J’ay delaissé à Paris mes parens (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- J’ayme ma Sainte en tout bien et honneur (Guillaume Des Autels, Repos de très grand travail, 1550)
- J’ay veu que j’estois franc et maistre (Anonyme, La Fleur de poesie françoyse, 1542)
- Je n’ay qu’un Dieu et un Roy en ce Monde (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- Je ne veuil point destourner l’amour grande (Guillaume Des Autels, Repos du plus grand travail, 1550)
- Je pense, Amour, que ma Sainte est ta sœur (Guillaume Des Autels, Repos du plus grand travail, 1550)
- Je pensois bien eschauffer ta froideur (Guillaume Des Autels, Repos du plus grand travail, 1550)
- Je voudrois bien povoir desduyre (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- Je vous supply ne faire point de doubte (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
L
- La belle Aegla qui de Pan fut amye (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- La femme veult toute saison (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- La forest, c’est le long poil de ma teste, (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- La grande ardeur de mon affection (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- La grande Diane ancienne (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- La liberté, qui jadis estoit mienne (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- La Loy monstrant la façon de bien vivre (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- La Mort n’est rien que separation (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- L’amour, la mort et la vie (Clément Marot, La Fleur de poesie francoyse, 1542)
- La nuict passée à moy s’est amusé (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
- La vertu, la beauté, la grace (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Le Basilic plus que serpent tortue (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Le bien offert, ô ma muse honorée (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- Le cler Soleil par sa presence efface (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Le Dieu Mars n’est point offensé (N.I., dans Claude Colet, L’Oraison de Mars, 1548)
- Le mary, ceste nuict premiere (François Habert, La jeunesse du Banny de lyesse, 1541)
- Le masculin au feminin se mect (Jean Chaperon, Le Dieu gard de Marot [et autres œuvres de Jean Chaperon], 1537)
- Le perroquet de la belle Corine (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- Le rossignol plaisant et gracieulx (Anonyme, La Fleur de poesie françoyse, 1542)
- Le Soleil reculant / Nos jours nous rongne (Jean Doublet, Elegies, 1559)
- Le souvenir que j’ay d’estre absentée (Claude Colet, L’Oraison de Mars, 1548)
- L’homme avisé poil apres poil arrache (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- L’homme qui souffre en estant patient (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Long temps y a que mon esprit ne cesse (Hugues Salel, Eglogue marine, 1537)
- L’honneur par vous acquis en bien disant (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Lors fut Nature et dextre, et disposée (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- Lors que la peur aux talons met des esles (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Lors que Lucrece en sa chaste mammelle (François Habert, Le Premier livre des sermons du sententieux Poëte Horace, 1549)
- Lors que ma mere enceinte me portoit (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Lors que Monsieur (ô Cinna) je t’appelle (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Lors que tu sçais que je suis invité (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Lors qu’il te plaist du lievre m’envoyer (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
M
- Ma Muse fut un long temps sans adveu (Charles de Sainte-Marhe, La Poesie Françoise, 1540)
- Mes petis vers en stile bas (Charles Fontaine, Odes, enigmes et epigrammes, 1557)
- Midas (auquel Phrygie fut subjette) (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Mon desespoir vous causera malheur (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
N
- Nature desirant, faire un couple d’Amys (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- Ne menez plus tel desconfort (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Ne pense pas que separation (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- N’espere plus, ô cueur triste et piteux (Hugues Salel, Œuvres, 1540)
- Ne vente plus, o Romme, ta Lucrece (Jacques Peletier du Mans, Les Œuvres poetiques, 1547)
- Nous vivons bien, sans tort faire à personne (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
O
- O folles gens, qui par force conjoindre (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- O forts François, nation belliqueuse (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- On craint le Loup, par Faim sortant du bois (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- On veult sçavoir si je suis amoureux (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- Or vous voyez ma valeur toute nue (Bonaventure Des Périers, Recueil des œuvres, 1544)
- Ostez l’espoir que pretendez en moy (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- O terre, ô ciel, ô vous touts elementz (Claude Colet, L’Oraison de Mars, 1548)
- Ou c’est un bien qui m’est promis des cieulx (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Ou c’est un mal que vous voulez que j’endure (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
P
- Pallas nasquit le morion en teste (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Par moyen du cheval Pegase (Martial Chassagnon dans Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Par tes desdains, fiere, tu entreprens (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- Pegase, Seine, Saone, Loire (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Penseant en moy, la grand’ debilité (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- Pensif je suis desja de ma nature (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Phebus voulant son desdain revancher (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Poete rural, poete Campestre (Claude Colet, Remonstrances à Sagon, 1537)
- Pour m’estre dedans ton onde, (Pierre de Ronsard, Le Bocage, 1554)
- Pourquoy painct on la belle Cytherée (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Precipité je suis dans un Abisme (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- Prevoyant le futur, veillons (Etienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Prudent Chancelier de renom (Bonaventure des Périers, Recueil des œuvres, 1544)
- Puis qu’à plein poing tiens les cheveux (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Puis qu’Apollon m’a voulu faire (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Puis que tu as ce bon heur rencontré (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Puis qu’il convient, pour gaigner le pardon (Hugues Salel, Eglogue marine, 1537)
- Puys que mon mal de jour en jour augmente (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
Q
- Quand avec toy par façon coustumiere (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Quand j’apperçoy que tu veulx parvenir (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Quand je vous ayme ardentement (Clément Marot dans La Fleur de poesie francoyse, 1542)
- Quand la belle aulbe amene le cler jour (Mellin de Saint-Gelais, dans Hugues Salel, Eglogue marine, 1537)
- Quand les beaultez je voy des corps cœlestes (Michel D’Amboise, Le Secret d’amour, 1542)
- Quand le Soleil eclipsa vers la None (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Quand ta langue fait son devoir, (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)
- Quand tout Paris sera bien visité (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Quel mal, Chiron, trouvas tu en la vie (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Quelquefois je veis une femme (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Que me font Latins anciens ? (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Que me mettiez ainsi au choiz de dire (Bonaventure Des Périers, Recueil des œuvres, 1544)
- Qui bien vouldra vaquer soir et matin (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Qui cuideroit faire plaisir à tous (Antoine Du Saix, Marquetis de pieces diverses, 1559)
- Qui t’a baillé ce cousteau entre mains (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
R
- Riche ne suis, certes je le confesse (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Rien n’est plus cher que cela qu’on desire (Charles de Sainte-Marthe, La Poësie Françoise, 1540)
- Rochay, Rocher d’amitié ferme (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- Rododaphné, herbe plaisante et belle (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Roy qui n’as pareil que ton Pere (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
S
- Sans fin (paovre sot) tu t’amuses (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Seigneur d’Anet, noble archier de la garde (François Habert, Le Temple de Chasteté , 1549)
- Si ce n’estoit ceste grande doulceur (François Habert, La jeunesse du Banny de lyesse, 1541)
- Si de ma tramblante gaule (Pierre de Ronsard, Le Bocage, 1554)
- Si jamais fut ung paradis en terre (Clément Marot, Les Œuvres, 1538)
- Si je puis ma jeunesse folle (Pierre de Ronsard, Le Bocage, 1554)
- Si je sçavoys que mon oeil meist à mort (Perrette Basilic, dans François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Si la beaulté se vouloit faire veoir (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- S’il m’en souvient, vieille au regard hydeux (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Si l’on fait cas de maints Dauphins de mer (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Si Martial est renommé (Charles Fontaine, Les Ruisseaux, 1555)
- Si mon Seigneur, mon Prince, et plus que Pere (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Si mort estoit des letres l’excercice (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Si Pallas peult par son divin sçavoir (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Si tes beaux yeulx pour rompre l’entreprise (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- Si tu es paovre, Anthoine, tu es bien (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Si vos grans vertus honorees (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
T
- Ton doulx regard, soubz cest habit de dueil (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- Ton euvre assez de louenge te donne (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Ton Nom tout d’or reluit en France (Charles Fontaine, Odes, Enigmes et Epigrammes, 1557)
- Tourne ton œil ailleurs, plus ne m’advise (Michel D’Amboise, Le Secret d’amour, 1542)
- Tousjours vouldriez que je l’eusse tout droit (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, 15, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Tous les malheurs que j’ay pour l’amour d’elle (Jacques Peletier du Mans, Les Œuvres poetiques, 1547)
- Tous navigans en la mer amoureuse (Hugues Salel, Les Œuvres, 1540)
- Toutes les fois qu’au travail de l’estude (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Toy qui es juge, et as puissance expresse (Pierre Coustau, Le Pegme, 1555)
- Toy qui tirois aux dentz vieilles savattes (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, 15éd. posthume Poitiers, 1547)
- Tu as tout seul, Jehan Jehan, vignes et prez (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Tu as trouvé un Enquesteur de mesmes (Bonaventure Des Périers, Recueil des œuvres, 1549)
- Tu dis amy (ce que je trouve estrange) (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Tu dis, Prelat : “Marot est paresseux” (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Tu dis tousjours que libre tu veulx estre (François Habert, Le Temple de Chasteté, 1549)
- Tu es ma mort, tu es ma vie, ô Sainte (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Tu es trompé, ò Peuple Lyonnois (Bonaventure Des Périers, Recueil des œuvres, 1549)
- Tu fais de toy piteuse anatomie (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Tu pouvois bien, Colet, à mon advis (Henri Simon, dans Claude Colet, L’Oraison de Mars, 1548)
- Tu te fais tant homme de bien (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
U
- Un bon Chartier qui conduict ses chevaulx (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Un compaignon s’amie menassa (Jean Paradin, Micropaedie , 1546)
- Une Catin, sans fraper à la porte (Clément Marot, Traductions de latin en françoys, éd. posthume, 1550)
- Une fillette à son Vicaire alla (Jean Paradin, Micropaedie , 1546)
- Un envieux qui Sagon s’appelloit (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Ung jour me dict ung de mon alliance (François Habert, Le Livre des visions fantastiques, 1542)
- Un jour Amour à ma Sainte visoit (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Un jour Amour voltigeoit dens tes yeux (Pontus de Tyard, Erreurs amoureuses, 1549)
- Un mary sa femme battant (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
V
- Venez à moy, venez, approchez vous (Jean Paradin, Micropaedie, 1546)
- Vescu avons virilement robustes (Étienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Vierges d’honneur et femmes tres pudiques (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Voudrois tu mieux appercevoir ma flamme ? (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail, 1550)
- Vous estes belle, en bonne foy (Clément Marot, Epigrammes faictz à l’imitation de Martial, éd. posthume Poitiers, 1547)
- Vous m’avez dit, madamoiselle (Guillaume Des Autels, Repos de plus grand travail , 1550)
- Vous me changez pour aultruy, belle Dame (Charles de Sainte-Marthe, La Poesie Françoise, 1540)
- Voyant aupres de Sainct Gelais (François Habert, Le Temple de chasteté, 1549)
- Voyant Caton, Romain preux et illustre (Etienne Forcadel, Poësie, 1551)
- Voyant mon Dieu en la croix estendu (Gilles D’Aurigny, Le Tuteur d’amour, 1553)